John Wayne Il a joué dans 80 westerns, devenant ainsi une figure marquante du cinéma occidental, synonyme de cowboys robustes, d’hommes de loi et de frontière sauvage. Alors que les classiques comme Un vrai courage, Rivière Rougeet Rio Bravo sont des films qui ont aidé John Wayne à définir sa carrière, Plusieurs autres films occidentaux mettent en valeur son talent et sa portée mais restent sous-estimés.. Ces films offrent de tout, de l’action intense aux personnages complexes, abordant souvent les thèmes de la justice, de la loyauté et de la rédemption personnelle. Cependant, malgré leur qualité, de nombreux westerns de John Wayne sont passés inaperçus.
Les films occidentaux moins célèbres de Wayne présentent plusieurs aspects qui le décrivent comme un héros stoïque et un individu imparfait et conflictuel confronté à des décisions difficiles. Qu’il s’agisse des citations mémorables, de la prestation, de la performance distinctive, du talent, du scénario unique de John Wayne ou simplement d’un film qui n’a pas reçu la reconnaissance qu’il méritait à sa sortie, Ces films démontrent la profondeur de l’héritage de Wayne au-delà de ses succès les plus connus.. Pour les fans du genre western et ceux qui souhaitent explorer l’étendue de son œuvre, ces pièces offrent des expériences cinématographiques enrichissantes et sous-estimées.
10
Le chariot de guerre (1967)
Le côté le plus léger du vol d’autocar
Le chariot de guerre voit Wayne comme Taw Jackson, un agriculteur lésé qui fait équipe avec Lomax de Kirk Douglas pour voler une diligence blindée transportant de l’or. Le film regorge d’action, de braquages intelligents et de plaisanteries mémorables entre les deux acteurs principaux, mettant en valeur la capacité de Wayne à équilibrer action intense et humour. La dynamique entre Jackson et Lomax ajoute une couche d’imprévisibilité à l’histoire.
En rapport
Malgré son principe captivant et ses solides performances, Le chariot de guerre il n’est pas resté aussi emblématique que les autres westerns de Wayne. Le ton plus léger et les éléments comiques du film ont peut-être contribué à ce qu’il soit moins célébré. que les rôles occidentaux plus sérieux de Wayne. Pourtant, il offre une version amusante et unique du genre traditionnel du braquage occidental.
9
Cahill, maréchal américain (1973)
Un père aimant est allé trop loin
Dans Maréchal américain CahillWayne incarne JD Cahill, un homme de loi coriace qui lutte pour maintenir l’ordre tout en élevant ses deux fils rebelles. Lorsque ses garçons rejoignent une bande de voyous, Cahill doit faire face au dilemme moral : faire respecter la loi tout en protégeant sa famille.. Le film propose une histoire captivante de loyauté, de justice et de dynamique familiale dans le contexte accidenté du Far West.
Le rythme plus lent du film et sa concentration sur les relations père-fils plutôt que sur l’action pure ont peut-être contribué à sa relative obscurité.
Malgré ses performances solides et son intrigue engageante, Cahill États-Unis MarshaOn en parle rarement parmi les œuvres les plus célèbres de Wayne. Le rythme plus lent du film et sa concentration sur les relations père-fils plutôt que sur l’action pure ont peut-être contribué à sa relative obscurité. Le portrait nuancé de Wayne d’un homme de loi en conflit montre son étendue, ce qui en fait un film occidental très sous-estimé dans sa vaste filmographie.
8
Les Comancheros (1961)
D’après le roman de Paul Wellman
Dans Les ComancherosWayne incarne le Texas Ranger Jake Cutter, qui fait équipe avec un joueur pour arrêter un réseau de contrebande d’armes approvisionnant les guerriers Comanche. Le film mélange action rapide, humour et camaraderie tandis que Cutter et son improbable allié travaillent ensemble pour rétablir l’ordre public.. La performance solide et pragmatique de Wayne porte le film à travers son récit d’aventure, et bien qu’il ne figure pas dans les meilleurs westerns jamais réalisés, c’est un film brillant.
Le film, Les Comancheros, réalisé par Michael Curtiz et basé sur le roman de 1952 par Paul Wellman.
Malgré un succès commercial, Les Comancheros a largement disparu de la mémoire publique. L’intrigue simple et les éléments formels ont peut-être éclipsé la performance engageante de Wayne. Cependant, les séquences d’action et l’alchimie de Wayne avec ses co-stars rendent ce western très divertissant.bien que souvent négligé, son entrée dans sa carrière.
7
Haut en selle (1944)
Une romance dans le désert
Wayne incarne Rocklin, un cow-boy coriace engagé pour diriger un ranch impliqué dans un conflit foncier. Haut en selle mélange romance, intrigue et action alors que Rocklin navigue dans la corruption locale tout en tombant amoureux de l’entêté Arly. Le portrait que Wayne fait du cow-boy stoïque mais fondé sur des principes a consolidé sa personnalité à l’écran en tant qu’homme de peu de mots mais d’actions décisives.
En rapport
Malgré sa popularité dans les années 1940, Haut en selle Il ne bénéficie plus de la même reconnaissance aujourd’hui. Son intrigue classique et son intrigue secondaire romantique n’ont peut-être pas vieilli aussi bien que certains des westerns ultérieurs de Wayne.. Il s’agit cependant d’un excellent exemple des premiers travaux de l’acteur, offrant un aperçu de la figure légendaire qu’il deviendra.
6
Hondo (1953)
Un père de famille
Dans HondoWayne incarne Hondo Lane, un éclaireur de cavalerie qui se lie d’amitié avec une femme et son fils vivant dans le pays Apache. Sur fond de conflit imminentHondo doit remplir à la fois son devoir de soldat et son attachement grandissant à sa famille. Wayne offre une performance à plusieurs niveaux, alliant ténacité et tendresse.
Ses moments plus calmes et centrés sur les personnages sont souvent négligés au profit de westerns plus bourrés d’action.
Bien que Hondo a reçu des critiques élogieuses à sa sortie, reste sous-estimé dans le travail de Wayne. C’est ça Les moments plus calmes et centrés sur les personnages sont souvent négligés au profit de moments plus remplis d’action. Occidental. La performance subtile de Wayne en tant qu’homme déchiré entre devoir et loyauté personnelle fait que ce film mérite plus de reconnaissance.
5
Le Grand Sentier (1930)
Le plus ancien des films
Comme l’un des premiers rôles principaux de Wayne Le Grand Sentier le voit jouer Breck Coleman, un éclaireur conduisant un train de chariots à travers des paysages dangereux jusqu’à l’Oregon Trail. Le film est épique par sa portée et son ambition, avec une cinématographie époustouflante et la présence audacieuse et précoce de Wayne en tant que figure héroïque.
Les 5 années les plus prolifiques de John Wayne : |
Films dans lesquels John a joué : |
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1933 |
11 |
1934 |
9 |
1933 |
9 |
1936 |
8 |
1935 |
7 |
Malgré ses prouesses techniques, Le Grand Sentier c’était un box-office déception à la sortie, en partie parce que son format grand écran n’était pas adapté à de nombreux cinémas à l’époque. Les visuels innovants du film et les premières performances prometteuses de Wayne ont depuis été appréciés, même s’ils restent peu discutés par rapport à son travail ultérieur.
4
Gros Jake (1971)
Excellente performance de « The Duke »
Dans Grand JakeWayne incarne Jacob McCandles, un flingueur à la retraite appelé pour sauver son petit-fils kidnappé par des bandits impitoyables. Le film combine drame familial et action concrète alors que McCandles mène une dangereuse mission de sauvetage à travers la frontière mexicaine.. Le portrait que fait Wayne d’un héros vieillissant mais déterminé est intense et sincère.
Alors que Grand Jake a été un succès commercial, n’est pas resté aussi emblématique que les précédents westerns de Wayne. Le rythme plus lent du film et l’accent mis sur les relations familiales ont peut-être contribué à sa moindre visibilité. Pourtant, son intrigue captivante et la performance puissante de Wayne en font une entrée sous-estimée dans sa carrière ultérieure.
3
Coq de Cogburn (1975)
Aux côtés de Katharine Hepburn
Dans Coq de CogburnWayne reprend son rôle de maréchal grincheux de True Grit, rejoindre la célibataire de Katharine Hepburn, Eula Goodnightpour récupérer les biens fédéraux volés. Le film offre un mélange d’humour, d’aventure et de développement de personnages alors que le duo dépareillé affronte de dangereux méchants. Le portrait que fait Wayne du maréchal vieillissant et grisonnant est plein de charme et d’intelligence.
Le ton plus léger et les éléments comiques du film, combinés à l’accent mis sur la dynamique entre Wayne et Hepburn, ont peut-être contribué à sa négligence.
Malgré le succès Un vrai courage, Coq de Cogburn a reçu un niveau de reconnaissance différent. Le ton plus léger et les éléments comiques du film, combinés à l’accent mis sur la dynamique entre Wayne et Hepburn, ont peut-être contribué à sa négligence. Il offre néanmoins un Délicieuse suite de l’un des personnages les plus emblématiques de Wayneavec des performances mémorables des deux protagonistes.
2
Rio Lobo (1970)
Fin de la trilogie
Dans Rio LoboWayne incarne Cord McNally, un vétéran de la guerre civile cherchant à se venger des hommes qui ont trahi son unité. TLe film est un conte de vengeance classique qui se déroule dans l’Ouest de l’ère de la reconstruction, avec Wayne jouant un personnage animé par la justice et la loyauté. Les séquences pleines d’action du film et son solide casting de soutien en font un western convaincant.
Les films les plus rentables de John Wayne |
Valeur brute (ajustement pour inflation) : |
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Comment l’Occident a été conquis (1962) |
506 700 000 $ US |
Le jour le plus long (1962) |
439 300 000 $ US |
Récoltez le vent sauvage (1942) |
415 millions de dollars américains |
Le Haut et le Puissant (1954) |
399 millions de dollars américains |
La poursuite en mer (1955) |
347 100 000 $ |
Rio Lobo conclut la trilogie Rio Bravo de John Wayne et, malgré ses solides performances, Rio Lobo n’a pas obtenu le succès critique des films précédents de Wayne. Son intrigue simple et ses thèmes familiers ont peut-être contribué à ce qu’il soit moins célébré, mais le portrait de Wayne d’un vétéran de principe mais vengeur ajoute de la profondeur à ce récit par ailleurs simple.
1
Le berger des collines (1941)
Ce qui est le plus sous le radar
Le berger des collines présente Wayne dans le rôle du jeune Matt, un montagnard séparé de son père qui retourne dans sa communauté pour se venger. Se déroulant dans les montagnes Ozark, le film s’écarte des thèmes occidentaux traditionnels, abordant les conflits familiaux, la trahison et la rédemption.. Le portrait que fait Wayne d’un homme déchiré entre la haine et le pardon ajoute une profondeur émotionnelle au film.
En rapport
Le berger dans les collines a été filmé quatre fois. Il a été filmé pour la première fois par l’auteur Wright en 1919, puis mettait en vedette Molly O’Day chez First National Pictures en 1928. Il a été suivi d’un film en 1941 avec John Wayne et plus tard en 1964.
Bien que salué par la critique à l’époque, Le berger des collines n’est pas toujours rappelé parmi les grands westerns de Wayne. Son cadre non conventionnel et sa concentration sur le drame des personnages plutôt que sur l’action peuvent expliquer pourquoi il est passé entre les mailles du filet. Cependant, la performance émotionnelle John Wayne et les thèmes de réconciliation du film en font un classique sous-estimé qui mérite plus d’attention.