10 films de science-fiction extrêmement déprimants et sombres

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10 films de science-fiction extrêmement déprimants et sombres

Films de science-fictionÀ la base, explorez les réalités et les futurs où les possibilités sont infinies. Dans ces films, la technologie ne connaît pas de frontières, la vie extraterrestre est monnaie courante et l’espace a été exploré jusqu’aux confins les plus lointains. La popularité de ce genre n’a pas faibli depuis sa création au début du 20e siècle. Aujourd’hui, la science-fiction reste l’un des thèmes les plus dominants du cinéma. De nombreux films de science-fiction sortiront en 2025, dont le très attendu Un endroit calme, partie IIIqui sera une continuation de la franchise extraterrestre épique de John Krasinski.

De nombreux films de science-fiction présentent un avenir optimiste dans lequel les conditions de vie s’améliorent grâce aux progrès rapides de la technologie. D’un autre côté, certains projets mettent en scène des réalités affectées par les terribles forces de la nature. Bien qu’il soit désagréable de les regarder, les films sombres de science-fiction montrent la pire des possibilités, décrivant des scénarios fictifs carrément déchirants.

10

Je suis une légende (2007)

Seul dans l’apocalypse

L’idée d’une apocalypse zombie est terrifiante en soi, mais… je suis une légende montre à quel point les choses peuvent aller mal. L’intrigue raconte l’histoire de Robert Neville (Will Smith), considéré comme le dernier homme sur la planète Terre. Un remède contre le cancer a été développé avec succès, mais il a créé, sans le savoir, un fléau qui a transformé les gens en mutants hyper-agressifs qui ne reculent devant rien pour infecter les autres.

Connecté

L’avenir décrit dans le film est complètement sombre. New York est un désert désolé et en ruine, dépourvu de toute vie humaine. Les bâtiments et les rues sont envahis par la végétation, souffrant du chaos provoqué par l’épidémie. Comme les monstres sont nocturnes, les heures de la journée deviennent encore plus sinistres. C’est complètement calme ici, et Neville doit survivre à l’isolement avec seulement la compagnie de son chien. Will Smith a été confirmé pour reprendre son rôle dans je suis la légende 2la suite tant attendue de l’histoire.

9

Coureur de lame (1982)

Néo-noir dans une ville dystopique

Le célèbre néo-noir de Ridley Scott Coureur de lame démontre les dangers réels du progrès technologique. Compte tenu du développement rapide de l’intelligence artificielle à notre époque, l’idée de ce film devient encore plus effrayante. Coureur de lame représente un avenir dans lequel la société a créé des réplicateurs ; les personnes artificielles sont pratiquement impossibles à distinguer des personnes réelles. La seule différence est qu’ils manquent complètement de toutes émotions.

L’histoire suit Rick Deckard (Harrison Ford), chargé d’éliminer quatre réplicants qui ont échappé à leurs colonies et sont revenus sur Terre. Même si le film présente les merveilles de l’évolution humaine, la cinématographie crée une atmosphère de froid, de pluie et d’obscurité. L’atmosphère de l’histoire est dure et convient parfaitement aux circonstances du décor dystopique. Le film a continué en 2017 Coureur de lame 2049 et continuera dans la série tant attendue Coureur de lame 2099.

8

Chose (1982)

La paranoïa à son meilleur

L’horreur de John Carpenter en 1982. Chose il est souvent cité comme l’un des meilleurs films de science-fiction de tous les temps, et pour cause. C’est un film presque parfait à tous points de vue. Il y avait une belle histoire, un excellent casting et des effets en avance sur leur temps. Chose N’ajoute pas de peluches supplémentaireset c’est l’une des raisons pour lesquelles les circonstances sont aussi sombres qu’elles le sont.

L’histoire se déroule dans une base de recherche isolée en Antarctique, où un groupe de scientifiques est attaqué par un extraterrestre malveillant qui peut facilement prendre la forme de ses victimes. Ce film se distingue par la paranoïa qu’il évoque.. RJ MacReady (Kurt Russell) et les autres chercheurs sont rendus fous par le fait que cette créature pourrait être l’une d’entre elles. Ils se trouvent dans une situation désastreuse et n’ont pratiquement aucun recours. La fin ouverte rend l’histoire encore plus sombre et terrifiante.

7

Akira (1988)

Tests d’état et fin choquante

Akira L’action se déroule dans un futur qui a souffert des conséquences de la guerre. Le film se déroule en 2019 dans le Néo-Tokyo nouvellement reconstruit, 30 ans après la destruction de la ville d’origine lors des événements de la Troisième Guerre mondiale. L’histoire suit Kaneda (Mitsuo Iwata) alors qu’il tente de sauver son ami Tetsuo (Nozomu Sasaki) des tests malveillants du gouvernement. Il s’agit d’une histoire magistrale de science-fiction qui explore de manière poignante les thèmes de la rébellion, du pouvoir incontrôlé et de l’expérimentation. L’histoire de Akira vraiment déchirant et associé à un style d’animation incroyable.

L’avenir apporte de nouvelles formes de pouvoir, et certains ne reculeront devant rien pour l’utiliser à leur avantage.

Bien que l’intrigue soit complexe, les thèmes sont aussi évidents que poignants. Le film montre comment le climat politique et le progrès scientifique poussent les gens à faire des choses terribles. L’avenir apporte de nouvelles formes de pouvoir, et certains ne reculeront devant rien pour l’utiliser à leur avantage. C’est stimulant et frustrant à plusieurs niveaux, et c’est l’une des raisons pour lesquelles Akira considéré comme l’un des meilleurs films d’animation de tous les temps.

6

Ville sombre (1998)

Obscurité constante

Dark City est un film de science-fiction néo-noir de 1998 réalisé par Alex Proyas. Le film met en vedette Rufus Sewell, Kiefer Sutherland et Jennifer Connelly. Il suit John Murdoch, qui se réveille sans souvenir dans un monde dystopique contrôlé par des êtres mystérieux connus sous le nom de « étrangers ». En reconstituant son identité, il découvre la vérité troublante sur les ténèbres éternelles de la ville et la réalité manipulée de ses habitants.

Directeur

Alex Proyas

Date de sortie

27 février 1998

délai de mise en œuvre

100 minutes

Écrivains

Alex Proyas, Lem Dobbs, David S. Goyer

Ville sombre porte les caractéristiques macabres à un tout autre niveau. Dans ce futur noir dystopique, John Murdoch (Rufus Sewell) se réveille et découvre qu’il aurait commis une série de meurtres brutaux, mais ne se souvient pas de ce qui s’est passé. Ordonné de fuir, Murdock se retrouve rapidement dans un environnement cauchemardesque rempli de questions sans réponse.

Ce film a l’atmosphère la plus sombre imaginable. Il fait toujours nuit dans une ville inconnue, mais cela ne semble déranger personne. La construction du monde est magistrale et correspond parfaitement au récit mystérieux. Ville sombre la fin fait exploser le voile sur l’évidence, la rendant d’autant plus convaincante. Le réalisateur Alex Proyas fait un excellent travail en créant un environnement étrange qui correspond à l’histoire surréaliste. Ce film est extrêmement sous-estimé dans son genre, mais son histoire est à la fois mystérieuse et déprimante.

5

Ne me laisse jamais partir (2010)

Clonage contraire à l’éthique

Marc Romanek Ne me laisse jamais partir offre une profondeur émotionnelle impressionnante avec très peu de ressources. L’histoire suit Tommy (Andrew Garfield), Ruth (Keira Knightley) et Katie (Carey Mulligan) alors qu’ils grandissent ensemble au pensionnat de Hailsham. Lorsqu’ils atteignent enfin l’âge adulte, ils réalisent les circonstances choquantes de leur existence : ce sont des clones élevés dans le seul but de donner leurs organes.

Contrairement à de nombreux films de science-fiction, la qualité Ne me laisse jamais partir naît de l’exploration d’un concept simple. Cependant, cela n’enlève rien à l’essentiel. L’idée du clonage est simple, mais elle est intégrée au récit d’une manière déchirante, explorant les relations, le but et l’amour. C’est une triste métaphore de ce que signifie être humain.et comment les implications de cette question évolueront à l’avenir.

4

Brésil (1985)

Rêve de fièvre sauvage

Brésil imagine un cauchemar fantastique hallucinogène et le porte au grand écran. La comédie noire de Terry Gilliam suit Sam Lowry (Jonathan Pryce), un humble bureaucrate vivant dans un avenir dystopique. Dans un style très proche de George Orwell. 1984Lowry existe dans une société totalitaire dont les habitants sont constamment sous stricte surveillance et soumis à la terreur.

Les choses commencent à changer pour Sam après qu’il rencontre enfin Jill Layton (Kim Greist), la femme qu’il continue de sauver dans ses rêves sans fin. Aussi absurde que soit le film, la réalité bizarre qu’il présente est décidément misérable. Le film explore de nombreux concepts, depuis les subtilités de la bureaucratie autoritaire jusqu’à la signification des rêves. À la nature sombre et fantaisiste correspond un message qui devient encore plus sombre avec la fin. C’est sans aucun doute l’un des meilleurs films de Terry Gilliam et un joyau caché de la science-fiction.

3

Lune (2009)

Crise d’identité isolée

Duncan Jones Lune démontre l’horreur de l’isolement, surtout lorsque des éléments de science-fiction s’y ajoutent. L’histoire suit l’astronaute Sam Bell (Sam Rockwell) alors qu’il termine enfin son séjour de trois ans en tant que mineur lunaire à la surface de la Lune. La réalité de Sam est brisée lorsqu’il découvre une version plus jeune de lui-même après que son rover s’est écrasé sur une moissonneuse.

Lune avait un budget relativement petit, mais a créé une histoire réfléchie et émotionnellement provocatrice en utilisant les ressources dont il disposait. Le scénario mystérieux de Sam passe d’une tragédie complexe à une tragédie mélancolique lorsque la vérité sur sa situation est enfin révélée. Le film propose un commentaire déprimant sur les idées d’isolement, d’identité et de santé mentale. Il s’agit d’une histoire sincère qui utilise la science-fiction comme un moyen doux pour regarder l’humanité sous un angle différent. Fin de la Lune lie tout cela d’une manière vraiment douloureuse.

2

Perce-neige (2014)

Un cauchemar de classe sur rails

Que se passe-t-il lorsque presque toute l’humanité meurt et que les survivants vivent dans le même train ? À travers la neige répond à cette question avec style dans un film qui va plus loin qu’il n’y paraît. Curtis (Chris Evans) vit à l’arrière du train parmi les passagers les plus pauvres. La qualité de vie des résidents des galères est aussi lamentable que possible. Tout le monde meurt de faim et les conditions sont absolument dégoûtantes. Quant aux mondes post-apocalyptiques, À travers la neige sera sans aucun doute l’un des pires endroits où vivre, du moins pour ceux qui n’ont pas d’argent.

L’environnement extérieur est devenu propice à la vie avec le début de la deuxième période glaciaire. et le seul lieu de refuge a une qualité de vie peut-être pire que la mort. Alors que Curtis et les passagers arrière s’approchent des voitures de devant, ils sont témoins d’une démonstration de classe et de richesse qui devient d’une complexité alarmante. Croyez-le ou non, À travers la neige on suppose que cela Willy Wonka une suite, une déclaration qui a plus de sens dans le contexte de la fin.

1

Route (2009)

Père et fils contre le monde

Regard sur les films de science-fiction les plus sombres et les plus déprimants, John Hillcoat Route est peut-être l’exemple le plus précis. L’histoire suit un homme (Viggo Mortensen) et son fils (Kodi Smit-McPhee) alors qu’ils se frayent un chemin à travers une Amérique désolée et ruinée. Le paysage est devenu un véritable désert à la suite d’une catastrophe imprévue à grande échelle.

Connecté

Un homme et un garçon partent à la mer et doivent faire face à la dure réalité qui les entoure. Ce film va dans des endroits plus sombres que la plupart des histoires n’osent. La présentation d’un monde post-apocalyptique semble véritablement réaliste, mais l’étendue de la sauvagerie humaine s’étend jusqu’aux limites les plus extrêmes. la science-fiction L’atmosphère est grise, le récit est tragique et illustre un avenir qui montre à quel point l’humanité peut être cruelle dans certaines circonstances. Route la fin est tout aussi déchirante et ne retient pas du tout.

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